Les MONOD, une famille de pasteurs

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La base contient
  • 2584 individus
  • 717 noms de familles
  • 180 noms de lieux
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Créé par Gedail V1.44 le 30/7/2005 à 16h37

 La généalogie

Cette généalogie n'a pas été établie selon les méthodes habituelles, par la consultation d'actes d'état-civil, mais par une compilation de documents publiés sur la toile Internet. Plusieurs autres généalogies également basées sur le livre "Cent ans. 1793-1893. Descendance au 18 Janvier 1893 de Jean MONOD et Louise de CONINCK, mariés le 18 Janvier 1793" B. Levrault Ed. 1893. In 4 br. 308 pp. 250ex.

  • Pour la période postérieure à 1893, plusieurs sites traitent chacun un rameau commun avec la descendance Monod et apportent des compléments, d'autres sites ont été développés par des individus appartenant à la descendance Monod donnent des éléments de biographies. C'est par ces diverses recherches utilisant un moteur usuel et efficace Google, qu'ont été obtenus d'importants compléments sous forme de textes, et enrichis de photographies (45), schémas, et musique, aidées en cela par le fait que de nombreux membres de la famille Monod ont une acquis une certaine notoriété.
  • On trouvera en annexe la liste des sites consultés
  • Enfin, les "filiations protestantes" de Eric Bungener, très complètes.
  • Il reste cependant de nombreux individus non rattachés, en France et hors de France, et dont l'apparternance à cette famille n'est pas assurée.


Les Monod

  • Monod (Selon Charles Montandon) Du prénom Aymon, vieux français Aymonod (germanique Haimo, foyer). Famille vaudoise née à Envy-Romainmôtier (1337), passée à Vullierens (1587) et à Morges (1610), avec une branche de Genève (1703) fixée à Paris en 1808.
  • Cette famille a donné à la France une série de pasteurs et théologiens protestants (26) dont certains ont eu un rôle fondateur (Adolphe, Frédéric, Guillaume), et, dans d'autres domaines, de nombreux médecins (43, dont 10 chirurgiens), deux prix Nobel de médecine (Daniel Bovet et Jacques Monod), quelques enseignants (24 professeurs), un naturaliste et explorateur (Théodore).
  • On peut voir dans la salle du Temple de l'Oratoire du Louvre, plusieurs portraits de pasteurs Monod.
    Le musée virtuel du protestantisme français est aussi une source de documentation sur la famille Monod et les familles alliées.
  • A l'époque contemporaine, de nouvelles tendances apparaissent, avec des chercheurs (CNRS, universités étrangères), des serviteurs de l'État (ENA, IEP), et des artistes, parmi lesquels on doit citer toute une lignée de verriers d'art formés par Éloi à son école de Biot.


Les outils

La base de donnée a été créée avec un outil développé à cet effet, puis gérée par GeneWeb (logiciel 'OpenSource' en licence GPL) et mise en forme pour la publication par un programme encore peu connu Gedail (logiciel développé dans l'esprit 'OpenSource' bien que n'étant pas en licence GPL)

D'autres outils ont été utilisés pour reformater et uniformiser certaines données (présence de la mention 'décédé', noms de lieux, notes).
Un effort particulier a été fait pour reformater les noms de lieux en utilisant des codes de pays et de subdivision conformes à la norme ISO 3166. Le site de Eugenio A. Merzagora contient les codes de subdivisions pour la France, l'Allemagne, l'Italie, la Suisse, l'Espagne. D'autres codes ont été obtenus pour les États-Unis.